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Forme(s) de vie

Compagnie Shonen

Concepteur, chorégraphe, réalisateur
Eric Minh Cuong Castaing

En partenariat avec le Quartz

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Photo : Victor Zebo
Dim. 5 mars 2023 — 16h
SEW — Morlaix

Concepteur, chorégraphe, réalisateur Eric Minh Cuong Castaing

Co-chorégraphe Aloun Marchal
Dramaturge, scénariste, 1ère assistante à la réalisation & scripte Marine Relinger

Interprètes sur scène : Elise Argaud, Yumiko Funaya, Aloun Marchal, Kamel Messelleka, Nans Pierson, avec la participation à l’image de Martial Bucher, Soizic Carbonnel, Jeanne Colin, Yoshiko Kinoshita, Eric Minh Cuong Castaing, Annie Ode, Bruno Santilli.

Scénographie Anne-Sophie Turion

Créateur sonore Renaud Bajeux
Lumière Nils Doucet
Costume Silvia Romanelli
Directeur technique Leo David
Régisseur technique Stanislas Kopec

Chef opérateur vidéo Victor Zébo
Ingénieur du son François charrier, Samuel Poiree
Chef monteuse Lucie Brux
Etalonnage Alexis Lambotte Label 42 studio
Production Claire Crova
Administration Emilie Parey
Direction de production (films)  Scarlett

Avec le soutien de la SACD (Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques) et de l’Onda, Office national de diffusion artistique dans le cadre de leur programme TRIO(S)

Remerciements : Sara Deschryver, Jean Marc Lapiana, Jan Goossens, Julie Moreira, Annie Bozzini, & tous les soignant.e.s de La Maison – Gardanne, Hôpital Sainte Marguerite – Marseille, Hôpital Bretonneau – Paris.

Quels gestes conserveriez-vous, si le mouvement devenait pour vous un enjeu, un objectif, un combat méritant ou nécessitant une attention sans faille ? Cette nécessité du geste rassemble sur scène les danseurs.ses de la compagnie Shonen et des interprètes en perte de mobilité (ancienne danseuse, un ex-boxeur professionnels).

Ici, corps dits empêchés et corps dits virtuoses s’augmentent et s’influencent les uns les autres ; harnachés au présent, ils se tendent vers l’avenir (l’objectif du gain de mouvement) en se tournant vers le passé (la mémoire des corps, de pratiques revenant à l’esprit et se réinscrivant dans les gestes).

Forme(s) de vie vise à restituer un espace d’intimité et de composition collective déplaçant la notion contemporaine de «corps augmenté» (ou «humain augmenté»), à l’heure où la question du handicap – et d’une lutte pour le mouvement qui pourtant nous concerne(ra) tous – demeure relégué aux marges de nos sociétés technoscientifiques, ultracompétitives et hygiénistes.

 

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