MAJORETTES
PIÈCE CHORÉGRAPHIQUE
COMPAGNIE BI-P
MICKAËL PHELIPPEAU
Cérémonie d’ouverture de la GRANDE PARADE2026
Jeu. 29 mai 2026 — 20H
Pièce Chorégraphique
Mickaël Phelippeau
Interprétation
les Major’s Girls :
Laure Agret, Josy Aichardi, Jacky Amer, Isabelle Bartei, Anna Boccadifuoco, Dominique Girard, Myriam Jourdan, Martine Lutran, Gianna Mandallena, Chantal Mouton, Marjorie Rouquet et Myriam Scotto D’apollonia
Collaboration artistique
Marie-Laure Caradec
Regard dramaturgique
Anne Kersting
Lumière
Abigail Fowler
Régie lumière
Antoine Crochemore ou David Goualou
Son
Vanessa Court
Régie Son
Laurent Dumoulin
Conception costumes
Karelle Durand
Réalisation costumes
Aline Perros
Habilleuse
Coline Galeazzi ou Cara Ben Assayag
Régie générale de création
Jérôme Masson
Régie générale de tournée
Antoine Crochemore ou David Goualou
Production, diffusion, administration
Fabrik Cassiopée – Manon Crochemore, Mathilde Lalanne et Marie-Laure Menger
Remerciements
Alban Richard
« Fade to grey » version fanfare
Arrangements
Jean-Baptiste Bridon
Avec
Batterie: David Coezy, Sousaphone: Didier Havet, Saxophone ténor: Marc Mangin, Saxophone alto: Martial Delangre, Trombone : Thibault Mortegoute, Trombone: Lucas Spiler, Trompette: Pierre-Marie Humeau, Trompette: Jean-Baptiste Bridon
Enregistrement & Mix
Robin Leduc au Studio Spectral
« Fade to grey » version pop et zumba
Adaptation et mixage
Armand Rogier
« Fade to grey » version Deep Slow Dream
Adaptation, arrangements et chant
Barbara Carlotti
Enregistrement & Mix
Bénédicte Schmitt – Studio Labomatic
Production déléguée
bi-p
Coproduction
Montpellier Danse, résidence de création à l’Agora, cité internationale de la danse, avec le soutien de la Fondation BNP Paribas, La Filature – Scène nationale de Mulhouse, Les Quinconces et L’Espal, Scène nationale du Mans, La Halle aux grains, Scène nationale de Blois, Format ou la création d’un territoire de danse – Ardèche, Centre national pour la création adaptée, Morlaix, Théâtre Brétigny-scène conventionnée d’intérêt national arts & humanités, CCNT, Centre chorégraphique national de Tours, Le Quartz , Scène Nationale de Brest, Carreau du Temple, Etablissement culturel et sportif de la Ville de Paris, TAP – Théâtre auditorium de Poitiers
avec le soutien du CN D Centre national de la danse
crédit photo
Mickaël Phelippeau & Philippe Savoir
La figure de la majorette convoque différentes réalités, du défilé quasi militaire dans la rue à la musique jouée par une fanfare en passant par les costumes de parade aux couleurs chatoyantes et à paillettes. Ce qui fascine, c’est le rapport à la répétition infinie d’un même geste pour le perfectionner, le désir de maîtrise du bâton et la prouesse qui naît (ou non) de ce maniement, car les chutes sont aussi nombreuses que les rattrapés.
Mickaël Phelippeau a rencontré les Major’s Girls de Montpellier, réunissant une quinzaine de femmes d’une moyenne d’âge de 60 ans. Josy, présidente, a commencé la majorette à 15 ans en 1964, dans ce club créé par sa mère : elle écrit aujourd’hui les chorégraphies. Ce n’est pas une histoire de la majorette qui se dessine mais bien leurs histoires, à travers leurs récits, les tournois remportés en France et à l’étranger, leur amitié de plus de 40 ans, entre la fougue de leur jeunesse et leur maturité d’aujourd’hui. Sur un plateau nu, le chorégraphe s’attache d’abord à elles en tant que majorettes, les expose dans leur virtuosité puis déconstruit leur pratique pour les amener vers d’autres formes d’expression chorégraphique.