Sélection d’articles
de presse

Le Monde – 16 mai 2021

« J’ai eu envie que les gens apprennent et comprennent qui nous sommes, que nous avons des talents même si nous avons besoin d’aide pour certaines choses. » 

Article complet

Le grand bulletin – jeudi 12 Mars 2020

« Le Grand Théâtre d’Oklahama est un projet à plusieurs niveaux de lecture qui, surtout, dégage une poésie et un humanisme bienvenu. »

Article complet

Inferno – juillet 2018

«  Leur jubilation d’avoir rencontré dans l’univers de Franz Kafka une partie secrète d’eux-mêmes se confond avec la nôtre. »

Article complet

Ouest-France 31 Janvier 2018

«  J’y ai décelé une ambition partagée pour les arts et la vie, c’est extrêmement joyeux. »

Article complet

Ar Men / Janvier 2018

«  Le théâtre demande une métamorphose. Que l’acteur ne soit pas tout à fait lui-même, qu’il soit quelque chose qu’il n’est pas déjà, mais qui soit accroché à une vérité intérieure. »

Article complet

Le Canard Enchaine 21 Décembre 2016

«  Le geste est simple, et c’est beau comme ce parterre soudain inondé de jonquilles, comme ces regards échangés avec les musiciens… »

Article complet

Mouvement N° 84 Juillet 2016

«  Madeleine Louarn distille, pièce après pièce, cette vérité de la nuit et de la lune espérée par Ludwig. » 

Article complet

Télérama 10 Juillet 2016

«  Ce que leurs gestes peuvent avoir de « non conforme » paraît alors si vrai, si juste… Madeleine Louarn donne à voir des personnes que n’ont pas encore abimées les conventions, que n’ont pas encore pétris les codes. Une humanité brute, comme on dit  » art brut » Originelle. Essentielle. Aller les admirer, c’est retrouver nos trésors de pureté, de vérité, avant que ne surgissent les mensonges. » 

Article complet

Inferno Magazine Juillet 2016

«  Celui qui n’a pas vu un spectacle de Madeleine Louarn n’a rien vu du théâtre, de sa fragilité, de sa poésie imperceptible et ne connaitra non plus l’exploit, sans effet de ses comédiens sur scène… »

Article complet

Le Monde 30 Juin 2016

«  Les acteurs ont leur façon à eux de répondre à ma proposition artistique, il ne faut pas avoir peur de l’accident. »

Article complet

Télérama Supplément Juin 2016

«  Dans ses engagements comme dans son travail, Madeleine Louarn répond a une question essentielle, celle de la liberté. »

Article complet

Inferno Magazine 20 Avril 2016

«  Pour tous ceux qui doutaient de la sincérité de la démarche de Madeleine Louarn, metteur en scène installée à Morlaix, ils ont du être rassurés lors de la rencontre organisée par le Festival d’Avignon qui préfigure sa venue lors du prochain festival avec sa nouvelle création Ludwig, un roi sur la lune, une pièce de Frédéric Vossier… »

Article complet

Le Télégramme 7 Octobre 2014

«  Le public Lorientais les connaît et s’est attaché à eux, ces comédiens qui troublent et interpellent sur la normalité, épatent par leur mémoire, émeuvent par leur plaisir à jouer, questionnent notre regard… »

Article complet

Le Télégramme 7 Octobre 2014

«  Un grand mélange improbable d’extraits de pièces de théâtre, de saynètes visuelles et de confessions intimes qui, extraordinairement, fonctionne du tonnerre.  »

Article complet

Ouest-France 4 Octobre 2014

«  C’est une pièce sur la mémoire des différents spectacles que l’on a traversés, qui essaie de retracer le parcours que les acteurs ont pu faire eux-mêmes à travers le théâtre. Comment, d’un démarrage où l’on ne comprend pas du tout ce que l’on doit faire, on se fait une petite image de ce qu’on va jouer, comment on va se transformer.  »

Article complet

France Bleu 27 Février 2015

Entretien de Madeleine Louarn, réalisé par Michel Flandrin

Ecouter

Télérama Mars 2013

«  On ne pouvait rêver meilleurs messagers que ces comédiens-là pour porter cette parole singulière.  »

Article complet

Mouvement Décembre 2012

«  Le tremblement de leur mouvement lui donne une rigueur absolue. Ils savent qu’ils ne savent pas tout, et ils foncent, se jettent dans l’instant. C’est leur force. Elle est bouleversante.  »

Article complet

Le Télégramme 10 Novembre 2012

«  Des personnages vraiment incarnés, un plaisir manifeste à jouer, et surtout, c’est nouveau, un véritable engagement du corps en scène, grâce au travail du chorégraphe Bernardo Montet, qui a su saisir l’essence de ces présences particulières, et en faire des danses étranges et magnifiques.  »

Article complet

Sortie De Secours 4 Novembre 2010

«  Je pense que ça n’aurait jamais pu avoir lieu sans la révolution dadaïste, qui a situé l’art à des endroits où on n’avait pas forcément l’habitude de le voir.  »

Article complet

Alternative Théâtrale 2010

Christelle Podeur se concentre et dit : « Je suis Onane, c’est le rôle que je fais. Onane aime bien faire des expériences. Elle veut tout, tout, tout…mais elle n’a jamais rien. Elle a beaucoup de désirs.  »

Article complet

Télérama 24 Mars 2010

«  C’est un théâtre des contrastes (entre l’or des costumes et le côté gris techno du décor minimaliste) qu’élabore Madeleine Louarn. Un théâtre de l’empêchement. Un théâtre généreux, aussi, dans lequel chacun – comédien, souffleuse, technicien – porte sa part de lumière.  »

Article complet

Le Télégramme 22 Mars 2010

«  Il a le grand mérite d’être de ceux qui questionne et que l’on prend plaisir à resavourer une fois le rideau baissé.  »

Article complet

Ouest-France 17 Mars 2010

«  Une vision poignante de notre société qui évolue, de la famille en train de se disloquer. Il tisse des lignes de tensions qui mettent en question nos devenir face à l’instabilité sociale.  »

Article complet

Le Télégramme 17 Mars 2010

« Un air de mélancolie et un jardin public donnent le cadre à ce récit ou cinq personnages vont successivement s’aimer, se disputer et se quitter.  »

Article complet

Ouest-France 14 Mai 2009

«  Madeleine Louarn a visiblement pris plaisir a mettre ce texte en scène. Sur le plateau du CDDB, les scènes se succèdent comme autant de tranches de vie. Chacune livre ses secrets, aucune n’est anodine.  »

Article complet

Mouvement Décembre 2008

«  Quand ils jouent avec des acteurs dits normaux, ont est pris de vertige : impossible de distinguer les acteurs, impossible de savoir qui est qui, quel corps endosse quel masque. »

Article complet

Ouest-France 29-30 Novembre 2008

«  Sur scène, les acteurs font exactement ce que fait Lewis Carroll : ils nous ouvrent des portes . »

Article complet

Le Progrès 4 Mars 2007

«  Ils en restituent l’étrangeté avec une force indéniable . »

Article complet

Télérama 14 Mai 2016

«  Les plus grands théoriciens du théâtre ont rêvé à des comédiens dont la seule apparition physique, brute, faisait naître du sens et de la vérité, de l’émotion. »

Article complet

La Terrasse Mai 2016

«  Cette mise en écho décuple l’impact de la poétique de Beckett, qui traduit le temps, la disparition, la répétition . »

Article complet

Aubermensuel Mai 2016

«  Par les yeux, par les oreilles, se noue une existence qui se déréalise. C’est un dernier souffle. C’est aussi un nouveau statut pour les mots puisque l’image et le son deviennent premier . »

Article complet

Fragil 13 Avril 2006

«  Leur présence est comme suspendue. Avec eux, on est jamais assuré, c’est donc plus intense et plus mystérieux.  »

Article complet

Ouest-France 16 Décembre 2004

«  Ils sont dans la présence. Juste ce qu’il faut pour jouer Beckett . »

Article complet

Le Progrès 6 Décembre 2004

«  Cette fin qui suspend est la métamorphose d’une création parfaite, entièrement mentale et imaginaire… Samuel Beckett disait que sa propre langue lui apparaissait comme un voile qu’il faut déchirer afin d’atteindre les choses, ou le néant, qui se trouvent au-delà.  »

Article complet

Le Télégramme 18 Octobre 2005

«  La mise en scène fraîche et insolite lui donne un charme spécial que les spectateurs ont découvert avec régal. Le tout dans une langue très rythmée et musicale qui s’accroche bien à la pensée saccadée et aux personnages percutants.  »

Article complet

Ouest-France 6 Octobre 2005

«  Les spectateurs ne sont pas au bout de leurs surprises. Car c’est là toute l’audace de la mise en scène qui intègre le public jusqu’à l’inviter au Festin pendant la peste.  »

Article complet

Le Télégramme 24 Septembre 2005

«  Mettre le théâtre à la portée de tous, loin de toutes formes d’élitisme. Nul doute que l’initiative fera école.  »

Article complet

Le Télégramme 16 Décembre 2002

«  D’actes en actes, la tension monte, les notes dramatiques succèdent aux passages plus naïfs. Tel ce fou rire que déclenche, à chaque apparition, le gardien de pourceaux, particulièrement décalé.  »

Article complet

Le Télégramme 12 Décembre 2002

«  Contribuer à la réouverture du Théâtre de Morlaix est quelque chose de très fort pour nous. A deux jours du lever de rideau, Madeleine Louarn balance entre fébrilité et enthousiasme.  »

Article complet

Ouest-France 25 Novembre 2002

«  Tout est convention au théâtre . Il y a une multiplicité de possibilité, autant que dans la peinture.  »

Article complet

Ouest-France 2 Octobre 2002

«  Nul doute que cette répétition publique était aussi constructive pour ces acteurs plein de talent, que pour l’auditoire ou le metteur-en-scène.  »

Article complet

Le Télégramme 24 Mars 2002

«  Des tirades aux chutes hilarantes se moquent efficacement d’un quotidien devenu futile, à l’époque où le régime soviétique faisait de ses citoyens les simples instruments d’un système prêt à éliminer les individus déviant pour sa survie.  »

Article complet

Le Télégramme 6 Mars 2002

«  S’imprégnant des mots et des maux de l’écrivain, conjuguant tragique et comique avec une saisissante concision . »

Article complet

Le Télégramme 27 Mars 1999

«  La relation avec les autres acteurs devient égalitaire et devient la normalité.  »

Article complet

Libération 12 Mars 1999

«  L’adhésion des spectateurs ne doit pas grand chose à la compassion ni au voyeurisme : c’est le savoir faire de la compagnie et les personnalités des acteurs qu’on applaudit.  »

Article complet

Ouest-France 9 Mars 1999

«  Le résultat est remarquable. La pièce qui mêle la réalité à la fiction, fait entrer la magie des rêves dans une histoire d’amour, le théâtre dans le théâtre, est une oeuvre poétique par excellence.  »

Article complet

Énergies Syndicales Mars 2007

«  À peine a-t-on remarqué leur langage un peu râpeux, cette façon particulière de buter sur les mots, tant leur présence sur scène est forte.  »

Article complet

Le Télégramme 21 Mars 2002

«  Une ode à la tolérance, à la dignité, à l’humanité et au talent. Tout simplement . »

Article complet